Ça fait déjà trois ans que je n’ai pas publié ici… cela m’amène à réfléchir aux lacunes du blog pour l’organisation de la connaissance et aux apport des bases de connaissances.
Je pense qu’il est inutile de présenter Wikipedia, l’encyclopédie libre en ligne. Au delà de sa gratuité, quatre choses la caractérise :
- elle est participative,
- elle est simple de navigation,
- elle traite de tous les sujets,
- elle repose sur un logiciel open source.
Partant de ce principe, pourquoi n’y a-t-il pas une adoption plus importante du wiki au lieu du blog ?
Les CHMOD, ça parait simple et complexe à la fois. D’ailleurs, la plupart du temps, les développeurs s’en préoccupent peu, ou pas du tout. Pourtant, une mauvaise configuration peut faire survenir des bugs dans de nombreuses applications. Plus grave, cette mauvaise configuration ne garantie pas une sécurité optimale et peut faciliter le hack de votre site et l’intrusion dans vos serveurs. Faisons donc un petit tour des bonnes pratiques.
L’encodage du texte a toujours été plus complexe qu’il ne parait. ASCII, Latin 1, Mac OS Roman, ISO 8850-n, UTF-8… On a tendance à s’y perdre. J’y dédis un article de mon livre Computer Science.
Cette complexité est sans compter le fait que différents langages de programmation gèrent ces encodages différemment. Vous êtes un développeur moderne, vous vous dites peut-être que de nos jours, tout se passe en UTF-8 et qu’il est inutile de s’appesantir sur le sujet ? Grossière erreur !
Vous connaissez le JavaScript. On utilise la méthode length
pour récupérer la longueur d’une chaine de caractère. Essayez donc '🤔'.length
. Si vous pensiez à 1, vous êtes dans l’erreur.
Par ailleurs, saviez-vous que 'A' !== 'А'
? Oui Monsieur, parfaitement ! Le premier est le “a” majuscule latin tandis que le second est en cyrillique. Une vérification sans considération des noms d’utilisateurs d’un site par exemple, peut vite poser problème…
Et vous n’avez encore rien vu ! Convaincu de l’utilité de faire le tour de la question ? Allez, on se lance !
Les générateurs de sites statiques (GSS ou communément nommés SSG), sont devenus en quelques années, grâce aux apports de la Jamstack, des outils de premier plan. D’une solution pour blog de développeur, ces technologies propulsent aujourd’hui des sites à fort trafic et à forte valeur ajoutée.
Spotify, Mastercard, Nike, Google, Facebook, Airbnb… Ce ne sont que quelques-uns des utilisateurs de ces solutions. Quels en sont donc les avantages, qu’est-il possible de faire avec cette nouvelle stack et comment ? Autant de questions auxquelles nous allons répondre dans cet article.
L’UX design (design de l’expérience utilisateur) est depuis quelques années dans toutes les bouches, le terme est à la mode. En contrepartie, nombre de sites ont encore beaucoup de progrès à faire. Tout site tire profit d’une bonne UX, cependant il y a quelques règles qui sont spécifiques au e-commerce.
Quand on connait l’impact spectaculaire qu’elles peuvent engendrer sur le taux de conversion et donc le chiffre d’affaire, mieux vaut ne pas passer à côté ! Voyons donc les quelques règles à absolument avoir en tête lors du design et du développement d’un site e-commerce. Il s’agit de conseils concrets, cet article est donc aussi bien destiné aux designers qu’aux développeurs, let’s go!
Le JavaScript dispose d’une demi-dizaine d’instructions distinctes permettant d’effectuer une boucle sur une variable. Quelles sont les méthodes les plus adaptées aux différents types de valeurs ? Quelles sont les implications de telle ou telle méthode ? Dans quel contexte préférer une instruction plutôt qu’une autre ? Autant de questions auxquelles nous allons apporter une réponse.
Commenter son code, c’est un cadeau que vous envoyez dans le futur. Peut-être pour le prochain développeur qui maintiendra le projet ou vous donnera un coup de main, mais probablement surtout pour votre futur vous.
En effet, ce qui est limpide dans votre esprit à l’instant où vous écrivez le code, sera clairement plus opaque lorsque quelques semaines ou mois se seront écoulés. La documentation – en plus d’un code bien structuré – participe activement à faire de votre base de code dans son ensemble un “bon code”.
Si l’on veut être productif, il faut que nos outils le soient aussi. Pour ma part, en plus de l’environnement logiciel et matériel de la machine principale déjà expliqué dans un précédent article, j’estime que plusieurs machines sont nécessaires à ma productivité.
En tant que développeurs, nos outils sont de deux catégories :
- les outils logiciel,
- les outils matériel.
L’un des motos de tout bon développeur est DRY, don’t repeat yourself. Pourtant, une très grosses partie de nos projets ont des besoins similaires : valider un email, uploader des fichiers…
À ce titre, conformément à un autre moto de tout bon développeur – ne pas réinventer la roue – on utilise des outils et modules déjà existants et éprouvés. Voici donc un petit listing des modules que j’utilise régulièrement.
Au pringtemps 2018, ma mère avait besoin de récupérer le contenu d’une archive PST Exchange de plus de 50GB. Impossible d’importer ça sur Linux, pas possible non plus sur les autres systèmes sans s’abonner à Office 365. Je fais quelques recherches et entre 400 logiciels Windows payants, je finis par trouver un outil libre en ligne de commande.
Ce logiciel s’appelle readpst et fait partie de la collection d’outils libpst. Je fais la conversion et tout fonctionne à merveille. Le seul bémol : j’imagine mal ma chère maman installer et utiliser un logiciel en CLI. De là me vient l’idée d’en faire une solution web : PSTconverter.