Ça fait déjà trois ans que je n’ai pas publié ici… cela m’amène à réfléchir aux lacunes du blog pour l’organisation de la connaissance et aux apport des bases de connaissances.
Je pense qu’il est inutile de présenter Wikipedia, l’encyclopédie libre en ligne. Au delà de sa gratuité, quatre choses la caractérise :
- elle est participative,
- elle est simple de navigation,
- elle traite de tous les sujets,
- elle repose sur un logiciel open source.
Partant de ce principe, pourquoi n’y a-t-il pas une adoption plus importante du wiki au lieu du blog ?
Commenter son code, c’est un cadeau que vous envoyez dans le futur. Peut-être pour le prochain développeur qui maintiendra le projet ou vous donnera un coup de main, mais probablement surtout pour votre futur vous.
En effet, ce qui est limpide dans votre esprit à l’instant où vous écrivez le code, sera clairement plus opaque lorsque quelques semaines ou mois se seront écoulés. La documentation – en plus d’un code bien structuré – participe activement à faire de votre base de code dans son ensemble un “bon code”.
C’est indéniable, le web devient mobile. D’ailleur devient n’est pas la terme adapté, le web est mobile. Plus de la moitié du trafic mondial provient des mobiles. Le web est donc mobile first. Cela mène à certains questionnements. Qu’en est-il ? Quelles sont les tendances ? Comment s’adapter ? Petit tour d’horizon du nouvel âge du web.
Internet, autrefois un espace libre d’échange, est aujourd’hui surveillé et attaqué de toutes parts. Conservation des données, pirates, agences de renseignements, gouvernements étrangers, espionnage industriel… Le cyberespace n’est plus de tout repos.
Entre censure et surveillance. Tentons de comprendre le pourquoi, le comment, mais surtout, le comment l’éviter.
Google Analytics et les outils concurrents présentent de très nombreuses données. Peut-être même de trop nombreuses données. Cela a pour effet d’instantanément nous perdre dans l’océan de métriques et de finalement ne rien arriver à en tirer. Cet article a pour but de présenter une démarche pour rapidement trouver son chemin et se faire une première idée de l’état d’un site et des actions les plus rapides à mettre en place.
Souvent, je me suis demandé s’il fallait attribuer un traitement différent aux liens allant vers un site autre que celui le référençant (dans le jargon, un lien sortant). Cette petite réflexion m’est venu en constatant que souvent, je pestais quand j’étais sur un autre navigateur que Firefox et que ce dernier ne m’affichait pas l’url au survol de la souris.
Ce n’est un secret pour personne, chaque nouvelle mouture d’un OS nécessite plus de puissance. Quelles solutions s’offrent à nous ? Acheter une nouvelle machine et jeter l’ancienne – ce qui revient aussi à jeter son argent par la fenêtre (sans parler du non-sens écologique)… Ou installer Linux ! Voyons donc comment Linux peut venir à notre rescousse.
Le numérique est l’avenir car les ressources sont illimitées, contrairement à l’économie classique qui repose sur les limites physiques des matières premières. En effet, impossible de vendre plus de voitures qu’il n’y a d’aluminium pour fabriquer la carrosserie, impossible aussi de vendre plus d’ordinateurs qu’il n’y a de silicium pour fabriquer les puces… oh wait ! Internet, c’est des ordinateurs ?! Et un ordinateur, c’est matériel, donc Internet aussi non ? C’est là toute la question. Qu’est-ce qui est matériel, qu’est-ce qui ne l’est pas ? Internet est-il fini ou infini ?
On considère plus les tablettes comme terminaux de consommation et de divertissement que comme outils de travail et de production. Avec sa tablette, on lit le journal, on glande sur les réseaux sociaux, on surfe sur le net, on fait mumuse en gribouillant des trucs sur son écran tactile ou en appliquant 2/3 filtres à ses photos mais bon, ça reste limité.
De fait, la tablette c’est bien mais elle n’est pas prête de se substituer aux ordinateurs laptops ou desktops, comme l’annoncent certains. En outre, leur modèle basé sur les apps n’est pas forcement toujours la réponse la plus convaincante en terme de productivité.
Cette semaine a été d’une rare violence sur internet. Entre le blackout day anti SOPA et la fermeture, le lendemain, de Megaupload, immédiatement suivi par une série d’attaque DDOS, sobrement nommées #OpMegaupload, c’était la guerre. Cette semaine aura donc eu pour effet de cristalliser les différentes visions d’internet.
Quelles sont-elles ces visions ? Grosso modo, on a d’un côté les défenseurs d’un internet neutre, libre et ouvert, et de l’autre, ceux qui veulent un internet « civilisé », et qui veulent imposer les moyens de le civiliser. Et comme civiliser internet, c’est le vider de tous les fichiers piratés, c’est le moment d’avoir une vrai réflexion sur le téléchargement illégal.