60 facteurs pour un bon SEO
Que vous ayez un e-commerce, un blog ou un site vitrine, il faut qu’il soit bien référencé, sans quoi aucun visiteur ne vous trouvera dans l’immensité du web.
Le référencement n’est pas une science exacte et il consiste en un savant mélange entre art et technique. Toutefois, il y a certaines règles qu’il faut respecter pour gagner les premières places du classement de Google. Ces règles concernent différents aspects de vos sites et contenus : humains, techniques, sociaux, les facteurs sont variés. Passons-les en revue et grimpez dans les résultats !
Le contenu
La première chose consiste à avoir du contenu intéressant et en quantité nécessaire. Tout d’abord parce que vous écrivez avant tout pour vos visiteurs, deuxièmement, et il est bon de le rappeler, les moteurs de recherche ne peuvent vous indexer que grâce au contenu que vous leur fournissez. Si vous n’avez que trop peu de texte avec une majorité de photos ou de vidéos, il y a de grandes chances pour que vous ayez du mal à vous référencer.
- Un contenu fourni se référence facilement. Évitez les articles de moins de 600 mots. 1500 à 2000 mots est une bonne quantité. Ceci est à relativiser pour les sites mobiles. On y revient ensuite.
- Veillez à avoir un contenu de qualité mais aussi utile. Les moteurs avantagent le contenu utile. Cela avait d’ailleurs fait débat puisque certains articles vulgarisarisateurs étaient mieux placé dans les résultats que les articles de références de Mozilla. Google avait répondu que ces articles, moins abordables, sont moins utiles pour l’internaute lambda.
- Un ratio pub/contenu pas trop élevé. Les moteurs scrutent votre contenu, trop de contenu publicitaire, surtout au dessus de la ligne de flotaison peut vous coûter cher…
- La fraicheur est appréciée. Les moteurs aiment le contenu frais et apprécient de voir que les pages sont mises à jour. Cela lui indique qu’elles ne sont pas abandonnées et qu’elle sont toujours d’actualité. La fréquence et la récence des mises à jour sont prises en compte ainsi que leur historique. Ne mettez pas à jour les pages tous les 3 matins mais maintenez le contenu pertinent et à jour.
- Le contenu supplémentaire utile tel que des convertisseurs ou calculateurs automatiques est un indicateur de qualité de la page.
- Attention au duplicate. Deux pages qui possèdent le même contenu seront pénalisées, évitez-le autant que possible.
- Utilisez
rel="canonical"
pour attribuer la source d’un contenu à une page et indiquer aux moteurs laquelle ils doivent référencer. - Un contenu bien rédigé, sans fautes de frappe, grammaire ou syntaxe à outrance signale un contenu qualitatif.
- Soignez également la programmation, et s’il s’agit d’un thème pour un CMS, choisissez-le avec soin.
Comme le montre le graphique ci-dessus, une étude a démontré que les pages avec beaucoup de contenu tendent à apparaître en haut des pages de résultats. Néanmoins, il est délicat de dire qu’une page doit faire au moins 600 mots. Gardez à l’esprit que la qualité et la satisfaction de vos visiteurs doivent toujours primer sur l’optimisation technique. Par ailleurs tout dépend du type de page. Si un article de blog peut facilement faire plus de 1000 mots, une landing page se doit d’être légère… Ne rajoutez donc pas de longueurs inutiles.
Les sites mobiles
Ce petit appareil que vous avez dans votre poche et depuis lequel vous naviguez sur le web représente aujourd’hui la majeure partie du trafic mondial, c’est un fait, il faut concevoir pour le mobile. L’internaute n’a pas les mêmes attentes lorsqu’il navigue depuis son téléphone que lorsqu’il navigue depuis un ordinateur. Vous devez en tenir compte.
Premièrement, la surface utile sur un écran de 5” n’est pas la même que sur un écran de 22”. Less is more, allez donc droit au but. Si nous parlions de contenu juste au dessus, sur mobile, il est souvent contre productif de noyer le visiteur sous une montagne de texte.
Cela dépend bien entendu du type de site dont il s’agit. Un article reste un article. On n’en fera pas une version spéciale mobile avec 50% de contenu en moins. Néanmoins, sur des sites ou pages sur lesquels on favorise une action (acheter un produit, réserver un restaurant), il faudra faciliter l’action.
Inutile de vanter les mérites du chef cuisto en 50 lignes. Mettez bien en évidence le numéro de téléphone pour réserver, ainsi que l’adresse, c’est ce que l’internaute veut (vous pourrez vanter les mérites du chef en bas de page où sur une page dédiée).
Évitez aussi les mauvaises pratiques telles que popup de newsletter, bannière pour télécharger l’app, accepter les notifications etc. L’utilisateur arrive à peine et vous le harcelez déjà… C’est encore plus insuportables sur mobile que sur desktop et Google n’apprécie pas du tout.
Un article sur Medium illustre ces pratiques de manière humoristique [en]
Google a bien constaté que les internautes ont des attentes différentes lorsqu’ils naviguent depuis un mobile. De plus, comme la majeure partie des recherches provient maintenant des mobiles, l’index de Google devient mobile first [en]. C’est à dire que les critères considérés comme bons pour le mobile priment maintenant sur ceux utilisés jusqu’alors pour les versions desktop.
Les mots clefs
Le SEO tourne autour du concept de mot clef. En effet, on cherche à se placer dans les premiers résultats par rapport aux mots clefs recherchés par nos cibles potentielles. Quand on parle de mot clef, il s’agit d’une expression qui peut se composer de plusieurs mots : « changer la vitre iphone » est un mot clef.
Assurez-vous que vos mots clefs stratégiques sont bien présents dans votre contenu :
- Dans le titre (balise meta title) de votre article.
- Dans les différents titres du contenu (balises h1, h2, h3…).
- Dans les 100 premiers mots du contenu de votre page.
- Vous veillerez en revanche à ne pas placer trop de mots clefs dans votre page. Une sur-concentration est un signe de faible qualité et de spam pour les moteurs de recherche (ratio mot clef/contenu à ±2% est idéal).
- Ne vous focaliser pas trop sur une seule expression. Le fait que la page soit pertinente pour d’autres requêtes signale un contenu qualitatif.
- Grâce à leurs algorithmes de LSI les moteurs sont à même de reconnaître les synonymes et les expressions communes à un sujet.
- Veillez aussi à rechercher des idées de mots clefs, et à vérifier que le contenu sur lequel vous tentez de vous référencer présente un volume de recherche suffisant et n’est pas trop concurrentiel. Aidez-vous pour cela de Google trends. Vous pouvez également guider votre stratégie de référencement par les données d’analyse de vos sites.
- Un site ne présentant aucune information de contact est suspect et indique potentiellement un contenu faiblement qualitatif.
En outre faites attention à ne pas vous auto-concurrencer en ayant plusieurs pages en compétition [en] pour un même mot-clef. L’idéal est d’avoir une page de référence – celle qui fait autorité sur le sujet et que vous voulez faire ranker – et d’avoir d’autres pages qui pointent vers cette référence.
Ces autres pages adresseront des sujets connexes ou plus précis. Ainsi, elles pourront jouer sur la longue traine (des mots clefs plus longs mais plus facile à ranker). Cette stratégie de page centrale s’appelle contenu cornerstone.
Le domaine
De nombreux facteurs entrent en ligne de compte au niveau du domaine. Certains sont plus importants que d’autres et parfois c’est même plus une curiosité de le savoir qu’autre chose !
- Évidemment, posséder un domaine qui contient son mot clef principal est un luxe.
- Les extensions locales (.fr, .ch …) vous permettront de mieux vous référencer dans le pays concerné mais ce sera au détriment de l’international.
- L’ancienneté de votre domaine. À moins d’acheter un domaine déjà existant, vous ne pouvez pas faire grand chose. Plus votre domaine vieillit, plus il acquiert de crédibilité auprès des moteurs.
- Si vous achetez un domaine “d’occasion”, comme pour une voiture, vérifier son historique et ses backlinks car s’il est catégorisé comme spam, vous partirez avec une pénalité.
- Les moteurs favorisent les sites qui possèdent une connexion sécurisée en https (pensez à rediriger votre trafic de http vers https).
- Google scrute les WHOIS, ainsi un propriétaire de plusieurs domaines spammy pourra voir ses autres domaines moins bien classés.
- De même, les WHOIS anonymes, peuvent être un signe de spam et moins bien ranker. C’est prouvé mais on est déjà de l’ordre de la psychose là…
- Dans la même veine, un brevet de Google spécifie que les domaines enregistrés pour plusieurs années ont moins de chances d’être liés à du spam.
Les liens et pages
Les liens sont le nerf de la guerre. Ils sont avec les mots clefs un des facteurs les plus impactant. On corrige ici certaines idées reçues, notamment sur les liens externes qui feraient perdre du “jus”.
- Un bon maillage interne favorise le référencement de l’ensemble des pages de votre site.
- Faites converger plus de liens sur les pages d’importance. Par exemple, plus de liens internes pointeront logiquement vers votre page d’accueil et vos pages de contenu conerstone.
- Surveillez les liens cassés. Un nombre de liens cassés trop important indique une page abandonnée et donc de faible qualité.
- L’âge compte, une page plus ancienne aura plus de poids. Pensez à faire pointer vos anciennes pages vers les nouvelles pour leur faire profiter de leur crédibilité.
- Faites des liens vers des pages ou sites qui font autorité donne du crédit à votre page [en] (du moins pour Google) et l’aide à mieux cerner votre sujet et les mots clefs pertinents.
- Faites des liens courts et propres. Un lien de la forme
http://monsite.com?p=345&z=rqfg56
est forcément moins bien qu’un lien du typehttp://monsite.com/mes-petits-secrets-seo/
. Les liens à rallonges ne sont bons ni pour le SEO ni pour le partage. Concernant les mots clefs dans le liens, plus ils sont sur la gauche, plus ils ont d’importance. - Enfin, assurez-vous d’avoir un sitemap xml. La plupart des CMS permettent de le générer automatiquement. Pour WordPress, le plugin WordPress SEO permet de le configurer assez finement.
Vous n’êtes pas sans savoir qu’en matière de liens, ceux qui pointent vers votre site sont primordiaux. D’une part ils apportent du trafic direct, d’autre part, ils indiquent aux moteurs que d’autres personnes apprécient votre contenu.
- Évidemment, plus vous avez de liens depuis des domaines différents vers votre site, mieux c’est.
- Inutile de faire trop de liens depuis le même site ou root domain. Prenez de 1 à 3 liens depuis différentes pages du site, puis passez à un autre.
- Variez les ancres des liens. L’ancre est le texte du lien, il faut que ce soit naturel. Une fois on mettra un lien ayant pour ancre “buzut.net”, une autre fois “buzut” et une fois encore “article pour bon SEO”.
- Idem, il faut varier les cibles des liens. Si les liens pointent toujours vers la homepage, c’est louche et pas optimal. Certains liens doivent pointer vers des pages plus profondes : une fiche produit, un article de blog…
- Le contexte du lien a toute son importance. Le lien a plus de poids s’il est fondu dans le contenu (et si celui-ci est de qualité) que dans un encart hors contexte. De même, un lien entouré de texte assez négatif sera interprété comme étant mauvais (attention aux commentaires et appréciations).
Tous les liens ne sont pas égaux. Oui, un lien depuis mon blog, en toute humilité, ne pèse pas autant qu’un lien d’un média national ou du gouvernement. En effet, un lien venant de la page d’accueil d’une grande université à plus de poids, car il représente un capital confiance supérieur. Au delà du nombre de liens, lorsque vous cherchez à comprendre pourquoi un site est bien classé, trois facteurs sont à prendre en considération :
- La popularité, qui est calculée en fonction du nombre de liens pointant vers la ressource,
- L’autorité, mesure du potentiel à être bien classée dans les résultats de recherche,
- La confiance. Similaire à la popularité, cet indice prend en compte la confiance effective des sources pointant vers un site (université, gouvernement…).
Certains de ces indices sont calculés pour la page et pour l’ensemble du site. L’Open Site Explorer de Moz permet de faire des analyses complètes des backlinks d’un site ou d’une page. Ainsi, il faut savoir faire preuve de discernement. La confiance joue énormément et constitue un élément clef dans la pérennisation du positionnement.
Aussi, par exemple, entre un lien d’une page de blog possédant un PageRank (ou Mozrank) de 6 et un autre avec un pagerank de 3 mais émanant du site du CNRS, je prend sans réfléchir le lien du CNRS ! Évidemment, son trustrank et son autorité seront sans commune mesure.
Supprimer du contenu
C’est une chose qui arrive, du contenu doit être supprimé. Que faut-il donc faire pour limiter la casse ?
La solution la moins bien est de ne rien faire et l’internaute suivant ce lien vers la page supprimée se retrouve face à une 404. Ce qui signifie que la ressource demandée n’a pas été trouvée. Toutefois, il se peut qu’elle soit disponible dans le futur.
La réponse HTTP qui convient est la 410. Cela signifie que la ressource demandée n’existe plus et ne sera pas de nouveau disponible dans le futur. Le client ne devrait donc plus requêter la ressource à l’avenir.
Encore mieux, si ce contenu supprimé est remplacé par du contenu nouveau ou plus à jour (la nouveau modèle d’une fiche produit par exemple), il conviendra de faire une redirection 301 (redirection permanente).
Les facteurs techniques
Comme le but premier des moteurs de recherche est de diriger leurs utilisateurs vers du contenu qui leur donnera satisfaction, tous les facteurs qui peuvent améliorer l’expérience utilisateur sont pris en compte. L’expérience sur mobile et la rapidité du site sont prises en compte par les moteurs, vous pouvez effectuer un premier test avec PageSpeed.
- Un site responsive, qui s’adapte au mobile, sera bien mieux classé dans les résultats mobiles. Ce facteur est d’importance car aujourd’hui les visites via mobiles et tablettes peuvent dépasser les 50% du trafic dans certains domaines !
- Pensez à compresser vos images.
- Concaténez et minifiez vos feuilles de styles et vos fichiers JavaScript.
- Optimisez aussi le cache HTTP des fichiers et images de vos pages pour que les navigateurs de vos visiteurs n’aient pas à les recharger à chaque fois.
- Mettez vos pages en cache au lieu de faire des requêtes SQL lorsque cela est possible.
- De même que les domaines nationaux aident le positionnement sur les territoires concernés, l’emplacement physique des serveurs peut avoir une influence (il joue de toute façon sur la vitesse de chargement). N’investissez pas pour autant dans un serveur par pays, mais posséder des serveurs sur le continent ciblé peut-être intéressant.
- L’uptime indique la (non) qualité d’un site. Un site trop souvent inaccessible peut voir son classement rétrogradé.
Si je vous parle chinois, sachez que si vous êtes sous WordPress, il existe de très bon plugins qui permettent d’optimiser la vitesse de ce dernier. Si vous souhaitez creuser un peu plus les performances de votre site, utilisez Pingdom, WebPageTest et Webhint.
Les médias
Ajouter des fichiers médias est bon pour vos utilisateurs, c’est donc bon pour votre SEO ! Bon pour vos utilisateurs car un texte agrémenté d’illustrations (ou de vidéos) est souvent plus agréable à lire. Dans le cas de graphiques ou de schémas techniques, cela aide aussi à saisir la complexité du sujet abordé.
Les moteurs de recherches apprécient donc les images. Les résultats images des moteurs constituent aussi un bon moyen de se positionner et de recevoir du trafic.
- Insérez des images de qualité dans vos articles (en contenu et en résolution).
- Veillez à ce que l’image s’adapte en taille et en qualité sur tous les supports et tous les types d’écrans (hello retina),
- Donnez des noms de fichiers parlants à vos images. Vous conviendrez que coque-iphone.jpg est plus parlant que img23632.jpg,
- Renseignez l’attribut
alt
de vos images. Il sert d’alternative texte en attendant le chargement de la ressource (et permet l’accessibilité aux personnes handicapées), mais aussi à indiquer aux moteurs en quoi consiste l’image.
Les facteurs humain
Les facteurs humains sont parmi les meilleurs indicateurs de satisfaction et donc de qualité des contenu. À cet effet, les moteurs de recherche analysent et prennent en compte le comportement des internautes dans leur classement.
- Le taux de clic dans les résultats de recherche influe sur la position de la page. Ainsi, une page avec un taux de clic élevé aura tendance à restée bien positionnée et même à monter dans les résultats, tout en générant plus de visites ! Soignez donc vos textes et donnez à l’internaute ce qu’il recherche. Lisez mon article sur le data driven SEO pour optimiser vos taux de clic.
- Le taux de rebond est un facteur de qualité important. Si la majorité des internautes vont sur votre site puis reviennent à la page des résultats dans les secondes qui suivent, fatalement, c’est que votre page n’a pas donné satisfaction.
- Le temps sur la page. Un internaute qui ne voit qu’une page d’un site mais qui y passe plusieurs minutes permet de préciser des indicateurs comme le nombre de pages vues par session. L’internaute peut avoir trouvé tout ce qu’il cherchait sur la première page. À l’inverse une session ayant de nombreuses pages vue peut renseigner une attitude de recherche face à un contenu peu pertinent.
- Trafic direct important. Google Chrome permet à Google de récupérer des données sur les habitudes de navigation des internautes. Il sait donc si certaines personnes accèdent directement à votre site. Le trafic direct est un indice de qualité fort puisqu’il signale une fidélisation des utilisateurs.
- Le trafic récurrent est aussi pris en compte, de même, des visiteurs récurrents annonce des utilisateurs satisfaits.
- Également grâce à Chrome, les pages mises en favoris vont dans le sens d’un contenu qualitatif et utile pour l’internaute.
- Les pages ayant de nombreux commentaires sont un signal d’interaction et de qualité.
Les facteurs sociaux
Les réseaux sociaux constituent un important vecteur de communication pour le digital et une source non négligeable de trafic et de diffusion. Ainsi, les moteurs scrutent le web social et en analysent les signaux pour interpréter la pertinence et l’engouement à l’égard des pages.
- Le nombre de tweets est un facteur de référencement. Plus votre site ou page est retweeté, meilleur sera son image et (potentiellement) son classement dans les moteurs.
- Également, l’autorité des compte Tweeter qui diffusent l’information est influente. Si votre lien est retweeté par le Figaro, cela aura plus d’influcence que si vous créer 50 comptes fantômes pour diffuser votre lien. Vous pouvez analyser le comportement des gens que vous suivez et de vos followers avec Followerwonk.
- De même chez Facebook, les Shares, et dans une moindre mesure les likes, permettent de donner de l’importance à un contenu.
- L’autorité des comptes Facebook est aussi prise en compte. L’autorité, dans les deux cas, dépend de multiples facteurs et considère l’âge du compte, son nombre d’amis ou de followers…
Conclusion
Un bon SEO résulte de nombreux facteurs. Comme nous avons pu le voir, certains sont plus impactant que d’autres, mais il ne s’agit pas de sur-optimiser certains éléments au détriment d’autres facteurs tout aussi utiles. On a tendance à penser que le SEO ne concerne que les moteurs de recherche, mais nous avons pu observer que de nombreux algorithme des moteurs tentent de mesurer la satisfaction de l’utilisateur. Fournissez donc un contenu de qualité, un site rapide, sécurisé, bien designé et mobile-friendly, pensez à avoir une bonne architecture du contenu et surtout à satisfaire l’internaute, votre SEO devrait s’en ressentir !
Que pensez-vous des techniques abordées ici ? Voyez-vous des choses à ajouter ?
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